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Nouvelles

Media@McGill présente une mini-conférence sur la scénarisation

±ĘłÜ˛ú±ôľ±Ă©: 7 February 2007

La réussite de scénaristes anglophones au Québec

Contrairement à ce que l’on croit, les scénaristes anglophones ne vivent pas tous à Toronto. Pour le démontrer, Media@McGill présente une conférence organisée par la Writers Guild of Canada sur le travail de scénaristes anglophones au Québec. Ceux qui en sont à leur début dans l’écriture pour la télévision et le cinéma auront la chance de rencontrer plusieurs scénaristes connus qui vivent à Montréal et travaillent en anglais le lundi 12 février, à 19 h, à la salle 232 du Pavillon Leacock, situé au 855, rue Sherbrooke Ouest.

Parmi les invités présents, mentionnons les scénaristes Bruce M. Smith (Prairie Giant: The Tommy Douglas Story), Laurie Finstad-Knizhnik (Bliss, Cold Squad), Leila Basen (Bon Cop, Bad Cop), Anne-Marie Perrotta (What’s with Andy?, Caillou) et Steve Gallucio (Mambo Italiano). Ils discuteront de leurs débuts et de leur réussite professionnelle dans un marché à prédominance francophone.

« Les scénaristes québécois qui œuvrent en anglais ont subi de façon encore plus marquée les contrecoups associés à l’octroi de crédits d’impôt provinciaux, lesquels font en sorte de créer davantage de possibilités d’emploi en Ontario et en Colombie‑Britannique. De plus, il est également difficile pour eux de se tailler une place dans une province où la majeure partie des téléromans et des films sont écrits et produits en français. Malgré cela, ils réussissent pour la plupart à bien gagner leur vie et à écrire des films et des séries télévisées qui connaissent beaucoup de succès », a mentionné Anne‑Marie Perrotta, scénariste d’animation et lectrice-analyste de scénarios.

Rattaché au Département d’histoire de l’art et d’études en communications, Media@McGill est un pôle de recherche, d’érudition et de sensibilisation qui se consacre aux enjeux et aux polémiques liés aux médias, à la technologie et à la culture. Les activités de Media@McGill sont financées par diverses sources, notamment par la Fondation canadienne Beaverbrook.

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