Une étude dirigée par l’Université McGill révèle que les commotions cérébrales de l’enfant peuvent se manifester par des ⳾ô similaires, bien que les lésions laissées par le traumatisme soient différentes. Ce constat pourrait conduire à de nouveaux traitements.
La plupart des enfants se rétablissent complètement à la suite d’une commotion cérébrale, mais chez certains, les ⳾ô perdurent. Publiée dans , l’étude fait ressortir les rapports complexes entre les ⳾ô et les lésions cérébrales.
D’après des chercheurs de l’Université McGill, et leurs collègues d’Italie, l’utilisation d’analgésiques anti-inflammatoires, stéroïdiens ou non, ferait augmenter les risques d’apparition de douleurs chroniques. Leur étude remet en question les méthodes classiques d’atténuation de la douleur. L’inflammation fait partie du processus normal de guérison d’une blessure douloureuse, et en la contrant au moyen de é徱Գٲ, on risquerait de rendre le traitement de la douleur plus difficile.
Le 23 mai 2018, lors de l’annonce de l’entente à McGill.
(De droite à gauche: Louis Arsenault (McGill), Gerald Cutting (Townshippers’ Association), Iris Unger, (Youth Employment Services), Kathleen Weil (ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise), Daniel Weinstock (Institut des politiques sociales et de la santé de l’Université McGill et Dialogue McGill) et Caroline van Rossum (CIUSSS Estrie-CHUS). Photo: Owen Egan.
Une étude réalise un suivi de patients pour mieux comprendre les effets et les traitements possibles
Le 1er décembre, Journée mondiale du sida, est l’occasion de faire mieux connaître une maladie qui a touché 70 millions de personnes à l’échelle internationale, dont 35 millions en sont décédées.
Le Neuro est reconnu comme un centre majeur de recherche et de soins cliniques en matière de SLA au Canada. En juin, le Neuro redouble d’efforts pour informer la population et les médias au sujet de la sclérose latérale amyotrophique, et encourage vivement les gens à soutenir la recherche sur la SLA.
FAIRE MIEUX CONNAÎTRE L’AVC
Toutes les dix minutes, quelqu’un est victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) au Canada. Quelque 14 000 Canadiens succombent chaque année à la troisième cause de décès au pays.
L’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (le Neuro) espère faire mieux connaître les dangers de l’AVC en soulignant le Mois de sensibilisation aux accidents vasculaires cérébraux. Lorsqu’on connaît les causes de l’AVC, on peut prendre les mesures nécessaires pour réduire ses risques d’avoir un AVC.
Des chercheurs de McGill découvrent un lien déterminant entre l’hippocampe et le cortex préfrontal
Parkinson : la caféine pourrait soulager les ⳾ô
Identification d’une nouvelle cause de la cécité chez l’enfant
On sait depuis longtemps qu’un système sensoriel (l’appareil vestibulaire) permet le maintien de l’équilibre en assurant la stabilité du champ visuel pendant nos déplacements. Même si nous comprenons en général les mécanismes par lesquels le cerveau perçoit les mouvements du corps, les scientifiques croyaient jusqu’à tout récemment que le cerveau décodait cette information de façon linéaire.
Une nouvelle étude publiée dans la revue Arthritis Care & Research, dirigée par Mary-Ann Fitzcharles, rhumatologue au Centre universitaire de santé McGill, révèle que 13 % des personnes atteintes de fibromyalgie consomment des cannabinoïdes pour soulager douleurs diffuses, fatigue et insomnie.
Des chercheurs de McGill ont découvert la cause d’une forme héréditaire d’épilepsie. Appelée syndrome du double cortex, cette maladie touche principalement les filles et résulte des mutations d’un gène situé sur le chromosome X. À l’aide d’un microscope à la fine pointe de la technologie, Susanne Bechstedt et Gary Brouhard ont découvert comment ces mutations entraînent une anomalie du cerveau.
La cachexie, syndrome caractérisé par une perte de poids rapide et la détérioration du tissu musculaire, est une importante cause de décès chez les patients atteints de cancer, du sida ou d’infections chroniques. Maintenant, une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université McGill, montre qu'une faible dose de patéamine A permet de prévenir l’amyotrophie induite par le cancer.