On l’appelle familièrement « le roi de la canneberge ». Plus que quiconque, Marc Bieler (DipAgr’58, BA’64) a contribué à faire rayonner l’industrie québécoise de ce petit fruit rouge aux propriétés antiadhésives et antioxydantes. Aujourd’hui, à 86 ans bien sonnés, un diplômé de McGill continue de s’impliquer au jour le jour dans le fonctionnement de l’entreprise familiale et de redonner à son prochain.
Félicitations à deux anciennes étudiantes de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'environnement de McGill, Ann Louise Carson, B.Sc.(Agr.) '81, et Odette Menard, B.Sc.(Agr.Eng.) '83, M.Sc. '91, qui ont été intronisées au Temple de la renommée agricole du Québec lors du gala de l'organisme le 26 octobre dernier. Cette année, l'événement annuel a marqué l'histoire, car c'était la première fois que le Temple de la renommée agricole du Québec accueillait deux femmes au cours de la même année d'intronisation.
En partenariat avec l’épicerie Maxi à Baie d’Urfé, nous sommes heureux d’annoncer une navette pour les épiceries qui circulera les mardis soirs à compter du 5 novembre jusqu’à nouvel ordre.
L'autobus a une capacité de 37 passagers et viendra chercher les étudiants à l'arrêt de la navette à l'extérieur du Centennial Centre.
Le service comprendra 2 allers-retours entre le Campus Macdonald et Maxi Baie d’Urfé. Les sièges seront disponibles selon le principe du premier arrivé, premier servi.
Le calendrier est le suivant :
Tous les cinq ans, le campus Macdonald rend hommage à une personne qui a apporté une contribution remarquable au campus et a fait preuve de dévouement de manière à enrichir la vie de l'établissement, ses programmes et ses étudiants. Ce prix est accessible à tous, professeurs ou membres du personnel, en service actif ou à la retraite, anciens étudiants et amis.
Le campus Macdonald honorera officiellement cette année un membre du personnel administratif et de soutien qui a obtenu un rendement exceptionnel et qui a contribué à la promotion et au développement du campus Macdonald et de la communauté dans l'exécution de ses responsabilités et dans ses efforts et sa collaboration aux services. Le laureat de prix devra avoir eu un réel impact sur la vie du campus Macdonald.
ParMyriam Laplante El Haïli,
Le 5 juin, l’ancien président de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Marcel Groleau, s’est vu décerner la plus haute distinction que l’Université McGill a le pouvoir d’accorder, soit un doctorathonoris causa. La distinction souligne le legs important que M. Groleau laisse au secteur agricole québécois.
À une époque où l’offre alimentaire est abondante et variée, la population canadienne mange-t-elle mieux qu’il y a cinquante ans?
En réponse à la question d'un lecteur, La Presse s'est penchée sur les origines du groupe Metro avec l'expertise de l'économiste agricole Pascal Thériault, Directeur du programme deGestion et technologies d'entreprise agricole de McGill.
Après la réduflation, c'est au tour de la déqualiflation d'être la cible des critiques de consommateurs préoccupés par ces stratagèmes commerciaux qui donnent l'impression d'en avoir moins pour son argent. Le gouvernement Trudeau promet d’enquêter sur la pratique, mais des experts jugent que des mesures immédiates s’imposent.
Dans la plupart des cas, les substitutions d’ingrédients sont pratiquement imperceptibles. Mais les changements de recette de certains aliments laissent des traces.
Photo: La Terre de Chez Nous
La crème de la crème du monde agricole s'est réunie dans la grande salle de bal du Château Frontenac le 21 octobre pour honorer trois nouveaux intronisés au Temple de la renommée de l'agriculture du Québec.
Des hommages ont été rendus à André D. Beaudoin,Charles Vincentet Réjean Vermette (photo ci-dessus de gauche à droite), sous l'œil vigilant des dignitaires présents, dont le ministre provincial de l'Agriculture, André Lamontagne.
La pomme est pourtant en constante réinvention.L’espèceMalus domesticase décline en quelque 7500 variétés mises au point au fil du temps.
« Aujourd’hui, les gens veulent des pommes croquantes et sucrées. Le Québec importait beaucoup de Granny Smith il y a peu ; très acides, elles sont maintenant beaucoup moins prisées », explique David Wees, chargé d’enseignement en horticulture et en biologie végétale à l’Université McGill.
Même si elle a grandi sur une ferme, Stéphanie Naud, n’avait jamais touché à une hache ou à une scie avant d’étudier au campus Macdonald de l’Université McGill, à Sainte-Anne-de-Bellevue, sur l’île de Montréal.
« J’ai toujours été une sportive de nature, raconte Naud. Je voulais rejoindre une équipe au cégep ou à l’université et les choix n’étaient pas très nombreux. J’ai appris qu’il y avait un club interuniversitaire de bûcheronnage, le seul au Québec. J’étais intriguée et je suis allée faire les essais.»
Les consommateurs ne sont pas les seuls à devoir gérer la hausse du prix des aliments. Les entreprises qui fabriquent la nourriture sont dans le même bateau et elles modifient la recette de leurs produits afin d'économiser de l’argent. Notre santé est-elle en jeu?
« Au Québec, ça n'a pas été bien cette année non plus. On perd la Californie, il reste la Floride, il reste le Mexique. On va espérer que ça aille bien quelque part parce qu'on va payer pour, un jour, » a déclaréPascal Thériault, l’agronome et économiste à l'Université McGill, à Luc Ferrandez, animateur de 98,5fm.
Québec importe énormément de la Californie pour les fruits, les légumes et le vin.
Bien que la croissance des prix en épicerie se poursuive à un rythme plus élevé que l’inflation, elle a ralenti en juillet, selon Statistique Canada, et certains articles affichent actuellement sur les tablettes le même prix que celui indiqué en février, a constaté La Presse.
Or, ce «répit» estival pourrait être de courte durée, prévient Pascal Thériault, agronome et économiste à l’Université McGill. Et il faut tout de même se rappeler que la facture d’épicerie demeure élevée, dit-il.