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McGill parmi les employeurs les plus 鳦´Ç°ù±ð²õ±è´Ç²Ô²õ²¹²ú±ô±ðs du Canada encore cette année

³¢â€™Université continue de se distinguer par les initiatives écologiques de ses employés et ses partenariats communautaires

Pour la quatrième année consécutive, l’Université McGill figure parmi les employeurs les plus 鳦´Ç°ù±ð²õ±è´Ç²Ô²õ²¹²ú±ô±ðs du Canada, a récemment annoncé Mediacorp. Les initiatives de ses employés axées sur le développement durable, les partenariats communautaires et les efforts qu’elle déploie pour réduire son empreinte écologique : voilà autant de facteurs qui lui ont valu ce grand honneur.

 est un concours de Mediacorp Canada Inc., également à l’origine du projet Canada’s Top 100 Employers. La désignation Greenest Employer est décernée aux organisations qui mettent en œuvre des initiatives durables exceptionnelles et se distinguent par leur leadership en environnement.

Les gagnants ont été choisis au mérite dans quatre catégories : programmes d’exception à visée écologique, démarches de réduction de l’empreinte écologique, participation des employés à ces programmes et contribution de ces initiatives à l’image publique de l’employeur.

« Année après année, nous sommes honorés de voir les efforts de notre communauté récompensés, se réjouit François Miller, directeur général du développement durable. La »å³Ü°ù²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé fait partie de l’ADN de McGill, et c’est en grande partie grâce à nos employés et à nos étudiants. »

Objectif zéro déchet : les employés à l’œuvre

Les initiatives des employés sont au cÅ“ur de la culture de »å³Ü°ù²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé qui rayonne sur nos campus et fait de l’Université McGill un lieu de travail et d’étude empreint d’un souci d’équité et d’une conscience écologique.

À titre d’exemple, le personnel et les étudiants du Centre de recherche sur le cancer Goodman ont décidé de s’unir pour réduire, réutiliser et recycler les déchets de plastique non dangereux produits dans les laboratoires du Centre. En institutionnalisant ainsi les pratiques durables dans les laboratoires, l’Initiative verte du Centre Goodman détourne les déchets de plastique de la décharge.

« Chacun a les moyens d’agir en exerçant son libre arbitre, et tous font équipe pour réduire la quantité de déchets produits », écrivent Carlis Rejon et Sudipa Chatterjee, qui pilotent cette initiative.

« Les gens donnent inévitablement le meilleur d’eux-mêmes lorsqu’ils œuvrent ensemble à l’atteinte d’un objectif qui leur tient à cœur personnellement, a fortiori lorsqu’il s’agit d’une toute nouvelle initiative de développement durable. On le voit très bien au Centre Goodman. »

³¢â€™Initiative verte du Centre Goodman ainsi que d’autres projets du genre des employés de McGill rapprochent l’Université – qui aspire à réduire son empreinte écologique – de ses objectifs à long terme, à savoir la carboneutralité d’ici à 2040 et le zéro déchets d’ici à 2035. Parmi les autres démarches écologiques mcgilloises, notons la campagne d’information Rethink React: Waste at McGill de l’unité Bâtiments et terrains et le programme de transport actif de la Réserve naturelle Gault, financé par le Fonds des projets de »å³Ü°ù²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé.

Présentée dans la Stratégie sur le climat et le développement durable de l’Université McGill pour 2020-2025 lancée récemment, la cible zéro déchets de l’Université se concrétise peu à peu, notamment grâce à un projet pilote de compostage, qui a d’ailleurs contribué à l’obtention de la désignation Greenest Employer (employeur 鳦´Ç°ù±ð²õ±è´Ç²Ô²õ²¹²ú±ô±ð).

Au cours des deux premiers mois du projet pilote, à la fin de 2019, 2 300 litres de déchets organiques triés comme il se doit ont été recueillis dans le hall du Pavillon McConnell, puis détournés de la décharge. Lorsque l’Université pourra de nouveau tenir des événements sur ses campus, les organisateurs pourront se prévaloir d’un service étendu de collecte des déchets organiques offert par l’unité Soutien aux événements.

Le développement durable à tous les niveaux

Si l’Université figure parmi les employeurs les plus 鳦´Ç°ù±ð²õ±è´Ç²Ô²õ²¹²ú±ô±ðs du Canada, c’est également en raison du tout nouveau Comité du développement durable du Conseil des gouverneurs. Constitué en 2020, il témoigne du sérieux des intentions de l’Université, déterminée à ancrer solidement la »å³Ü°ù²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé dans la culture imprégnant ses campus.

Par ailleurs, l’Université Å“uvre pour la »å³Ü°ù²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé par les partenariats qu’elle noue à l’extérieur de ses campus, cette fois dans une optique sociale. Ainsi, des partenaires autochtones et mcgillois collaborent au sein du programme Branches de la Gestion de l’effectif étudiant pour offrir du mentorat et des réseaux de soutien transformateurs destinés à aiguiller les apprenants autochtones dans leur parcours éducatif. Plus précisément, les objectifs du programme sont les suivants : découvrir les perspectives autochtones et leur faire une place, entretenir des partenariats et encourager l’apprentissage expérientiel.

Parlons enfin du Service juridique Chez Doris, offert à l’année aux bénéficiaires de cet organisme de bienfaisance par des stagiaires de la Faculté de droit de l’Université, sous l’œil attentif d’un professeur de droit. ³¢â€™objectif est ici de permettre aux personnes vulnérables et à faible revenu d’avoir accès à des conseils juridiques de toutes sortes, allant des droits des locataires au droit criminel, en passant par le droit de la famille.

« Le développement durable à McGill, c’est beaucoup plus que de l’écologie, lance François Miller. Nous sommes fiers de notre communauté, qui s’emploie à faire de l’Université un établissement plus durable pour tous. »

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