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C’est l’architecte sir Andrew Taylor, formé à l’Académie royale de Londres, qui dessina ce bel édifice de style roman richardsonien. Il plaça la fonction du bâtiment, les besoins auxquels il était destiné et son plan au-dessus des questions d’harmonie et d’ornementation.

À l’époque de son érection, l’édifice était considéré comme l’un plus novateurs. En prenant en considération le but de ce dernier, Taylor dessina des rayons en acier et d’épais planchers de verre qui devaient permettre à la lumière naturelle de passer à travers les trois étages tout en s’assurant que l’édifice soit à l’épreuve du feu, un véritable exploit en 1893.

Une porte coupe-feu séparait les rayons du reste de la salle principale de la bibliothèque et de la salle de lecture, qui possédaient des planchers en terre cuite ainsi qu’un toit d’ardoises et de cuivre. On utilisa du bois seulement pour les lourdes poutres de chêne qui supportaient les étages supérieurs et qui étaient surmontées à chaque bout par d’effroyables têtes de dragons se trouvant à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment.

Description du projet :

Il s’agit d’évaluer l’état de l’enveloppe externe du bâtiment, de s’entendre avec Gestion des installations et services auxiliaires et de faire les travaux qui s’imposent.

Renseignements connexes :

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Approvisionnement durable

Les entreprises avec lesquelles l’Université fera affaire dans le cadre du présent projet devront se conformer au Code de conduite des fournisseurs de l’Université McGill.

D’autres exigences pourraient devoir être remplies, notamment en ce qui concerne la quantification et la limitation des émissions de gaz à effet de serre pendant la durée du contrat ou la durée de vie de l’actif; les certifications de construction durable ou de produits durables; le recours à des entreprises autochtones ou d’économie sociale; et la conception circulaire.

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